Ce fut l’un des épisodes les plus douloureux qu’eurent à endurer les familles de mineurs d’Escaro. Un traumatisme qui restera à tout jamais marqué dans les mémoires.
Le 27 novembre 1973, pelleteuses et bulldozers réduisirent à l’état de gravats une demi-douzaine de maisons du hameau d’Escaro d’Amont, (...)
Pour les ouvriers mineurs qui travaillaient dans les concessions d’Escoums et d’Escaro, les conditions de travail étaient généralement plutôt rudes. Les occasions de se retrouver dans un cadre festif étaient par conséquent d’autant plus appréciables. A l’image de cette mémorable virée cargolada du côté (...)
Encore une superbe image de mineurs d’Escaro exhumée des albums photos de la famille Aspe. Celle-ci a été prise dans les années cinquante devant les bureaux de la mine situés à l’époque en dessous de la vieille église romane sur la route montant au "village d’en-haut".
Précisions de Daniel : « Il y avait (...)
Encore une image émouvante dénichée dans les pages écornées d’un vieil album photo. Aucune indication malheureusement sur la date et le lieu de la prise de vue. Pas de métadonnées ici, comme sur nos appareils photo numériques d’aujourd’hui ou nos smartphones, susceptibles, grâce à la géolocalisation et (...)
Nous l’avions déjà évoqué à maintes reprises dans de précédentes notes.
L’exploitation des mines de fer du massif du Canigó fut, par le passé, souvent tributaire des aléas économiques et climatiques. De fait, les mineurs d’Escaro n’avaient pas toujours la possibilité de vivre de leur métier tout au long de (...)